Bilan de la législature 2015-2019
Pendant son mandat, Denis de la Reussille s’est battu pour un service public fort, en dénonçant la politique de contrats précaires des CFF ou en revendiquant le non démantèlement de CFF Cargo surtout dans les Montagnes neuchâteloises, le Jura, le Jura bernois et l’Oberland bernois. Il s’est aussi opposé à la fermeture des bureaux postaux. Concernant la politique environnementale Denis a demandé le maintien du taux de TVA pour les engrais et produits phytosanitaires à 7,7% et a questionné le taux de 2,5% prévu dans la nouvelle loi afin de promouvoir réellement une agriculture sans produit phytosanitaire de synthèse et respectueuse de la terre et de l’humain. Denis a aussi proposé l’élaboration d’un projet d’acte de l’Assemblée fédérale ayant pour objectif que compenswiss (institution qui administre les fonds de compensation de l’AVS, de l’AI et du régime des APG), rende compte régulièrement de l’identité des sociétés étrangères et Etats (sovereigns) présents dans son portefeuille, afin d’assurer la transparence des placements qui restent lacunaires malgré l’importance des fonds (35 milliards). Dans le cadre de son travail à la commission des affaires étrangères, il a toujours défendu une politique de paix et le maintien des subventions à l’aide au développement. Il a défendu des solutions négociées en faveur des Kurdes, des Palestiniens ou des Colombiens.
